CORONAVIRUS PROTECTION (actualisé)

Voir aussi : http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/24/hydroxychloroquine-comment-la-mauvaise-science-est-devenue-u-305255.html ,,,

reçu aujourd’hui le 18/03/2020 voir ci dessous

Coronavirus : une excellente nouvelle !
Cher(e) ami(e) de la Santé, Quelle bonne nouvelle ! Des scientifiques français viennent de prouver l’efficacité de la chloroquine contre le coronavirus ! Le 3 mars dernier, il y a 2 semaines, je vous écrivais ceci : Parmi les médicaments chimiques existants, la chloroquine est clairement le plus prometteur contre le coronavirus, pour plusieurs raisons : Ce médicament anti-paludéen a montré une efficacité in vitro contre le coronavirus chinois[1] ;
Il a déjà fait l’objet d’études cliniques en Chine sur des patients atteints du coronavirus, dont les résultats prometteurs ont conduit les hautes autorités de santé chinoises à recommander officiellement ce médicament pour traiter le coronavirus[2] ;
Et il est plébiscité par le Pr Didier Raoult, spécialiste mondial des maladies infectieuses, qui fait confiance aux conclusions des virologues chinois et qui connaît très bien le potentiel anti-viral de ce médicament[3]. Il y a quelques jours, je vous annonçais que la Corée du Sud également avait d’excellents résultats contre le coronavirus, grâce à une forme de chloroquine (l’hydroxychloroquine) mêlée à du zinc. Et ça y est, c’est confirmé par l’équipe du Pr Didier Raoult, à Marseille ! On lui doit une fière chandelle, car ce médicament n’intéressait pas du tout les autorités de santé, ni en France, ni à l’étranger. La « communauté scientifique n’est pas convaincue », avait déclaré, méprisant, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. Pire : la France a lancé 4 études cliniques officielles récemment… mais a refusé de tester la chloroquine ! Nos « grands pontes » ont préféré tester 4 médicaments récents et hors de prix[4]… plutôt que la chloroquine, la molécule la plus prometteuse et la moins chère ! Pourquoi ? Pour des raisons de gros sous et de narcissisme. Comme l’avait dit le Pr Raoult : « avec la chloroquine, on coupe l’herbe sous le pied de plein de gens qui rêvaient de décrocher le Prix Nobel pour avoir trouvé un nouveau médicament ou un nouveau vaccin ». Mais le Pr Raoult a tenu bon et a réussi à tester la chloroquine de son côté, dans son laboratoire… …et les résultats paraissent spectaculaires ! Au bout de six jours de traitement : 25 % seulement des patients traités étaient encore porteurs du virus,
contre 90 % chez ceux qui n’ont pas reçu le traitement ! Et quand on combine la chloroquine avec un antibiotique (l’azithromycine), l’efficacité est encore plus grande ! « C’est spectaculaire, a déclaré le Pr Raoult. La charge virale moyenne avec ce virus est normalement de 20 jours. Et tous les gens qui meurent à cause du corona ont encore le virus. Ne plus l’avoir, ça change le pronostic. » Bref, c’est une excellente nouvelle… …et figurez-vous que cette nouvelle est tombée pile au moment où j’étais en train de vous écrire une lettre intitulée « Coronavirus : 4 raisons de garder le moral ». Ma quatrième raison, c’était précisément qu’il y avait des traitements prometteurs, comme la chloroquine. Je n’espérais pas que l’actualité me donne raison aussi vite ! Mais il y avait aussi 3 autres raisons d’être optimistes, que je tiens tout de même à vous communiquer : Raison numéro 1 : les non-fumeurs ont un risque de complications très faible Le coronavirus est très contagieux, mais il ne fait pas les mêmes dégâts chez tout le monde. Si vous êtes non-fumeur, vous avez 14 fois moins de risques de complications graves que si vous êtes fumeur. C’est ce qu’a montré une étude publiée dans le Chinese Medical Journal[5]. Face au coronavirus, fumer est même deux fois plus dangereux que d’être une personne âgée ! Je ne dis pas ça de gaité de cœur : j’ai des fumeurs parmi mes proches. Mais cela veut dire que vous n’avez aucune raison de paniquer si vous ne fumez pas. Même si vous avez 80 ans, il n’y a pas de raison d’angoisser si vous êtes non-fumeur et que vous n’avez pas de maladie chronique. Ce virus ne cause des dégâts que sur des organismes fragilisés. Je comprends pourquoi les autorités et les médias ne le crient pas sur les toits : ils ne veulent pas démobiliser l’effort national. Ils veulent que vous vous sentiez tous menacés à titre personnel, pour être sûr que vous respectiez les règles. Je ne critique pas cela, car tout le monde doit faire des efforts, en ce moment. Mais de mon côté, je sais que je m’adresse à des citoyens responsables, capables d’entendre la vérité sans se démobiliser. Et puis n’oublions pas que l’angoisse aussi peut faire du mal : le stress et le manque de sommeil plombent le système immunitaire, et vous rendent plus vulnérable au coronavirus. Voilà pourquoi il est important de mettre les choses en perspective. Les médias vous parleront des « exceptions » : telle ou telle personne de 42 ans en réanimation, alors qu’elle était en pleine santé. Mais on ne vous dira pas si cette personne « en pleine santé » : était fumeuse ;
a fait l’erreur de prendre des anti-inflammatoires ou du paracétamol pour baisser sa fièvre ;
était en carence avérée de fer, vitamine D ou de zinc ;
ne quittait jamais son canapé, ou ne mangeait que des produits industriels. Je ne dis pas cela pour « minimiser » ce genre de drame, et encore moins pour « juger ». Ce que j’essaie de vous dire, c’est que vous avez toutes les raisons de rester serein si vous adoptez les bons gestes. Le virus ne tue pas « au hasard ». Même en Italie, où le système a été débordé : Seules 2 personnes décédées sur 800 n’avaient pas de maladie chronique (vraisemblablement des fumeurs) ;
Les deux tiers avaient au moins 2 maladies ;
Et ils avaient 81 ansen moyenne[6]. Bien sûr, ces chiffres confirment qu’il faut se mobiliser pour protéger les personnes vulnérables. Mais ils montrent aussi qu’il n’y a pas de raison de paniquer si on ne fume pas et qu’on n’a pas de maladie particulière, même si on est âgé ! Raison numéro 2 : ramené à la population entière, ce virus tue rarement En apparence, le taux de mortalité du virus est élevé : entre 1 et 3 %, et jusqu’à 8 % en Italie ! Mais c’est parce qu’on ne teste que ceux qui arrivent à l’hôpital ! Or la plupart des gens qui attrapent le virus ont un simple rhume, ou même aucun symptôme. Ils ne vont donc pas à l’hôpital, et ne sont jamais testés. Il n’y a que sur le bateau de croisière Diamond Princess qu’on avait testé tout le monde. Et on s’est rendu compte que la moitié des passagers testés « positifs » n’avaient strictement aucun symptôme ! Il y a donc beaucoup plus de personnes « contaminées » que de cas « officiels » La preuve avec ce qui s’est passé en Islande. Le gouvernement a fait un grand dépistage national. Ils ont découvert que 1 % de la population était infecté, soit 3 600 personnes. « La moitié est asymptomatique, l’autre moitié a un rhume normal » a précisé M. Gudnason, l’épidémiologiste en chef de l’Islande[7]. C’est intéressant parce qu’en Islande, le nombre de cas « officiel » est de 180. Cela veut dire que le nombre de cas « réels » est au moins 20 fois supérieur au nombre de cas « confirmés ». Personnellement, je pense même que c’est davantage (50 à 100 fois plus), car de nombreux Islandais ont dû être testés « négatifs » alors qu’ils avaient bien eu le virus, mais l’avaient déjà éliminé. Pour la France, cela signifierait qu’il y a au moins 130 000 cas, plutôt que les 6 000 annoncés. Peut-être 500 000. Cela peut paraître angoissant, mais c’est plutôt une bonne nouvelle. Car cela veut dire que le taux de mortalité de ce virus est très faible : au moins 20 fois inférieur à ce qu’on dit. Et cela veut dire que beaucoup de gens sont en train d’acquérir une immunité contre ce virus, ce qui va finir par faire barrière contre l’épidémie. Raison numéro 3 : les « mesures barrières », ça marche ! Ce qui est très rassurant, également, c’est de voir que l’épidémie recule là où la « distanciation sociale » a été mise en œuvre. Au Japon, l’épidémie est contenue depuis le départ. Personne ne sait exactement pourquoi, mais je soupçonne que c’est lié au comportement des Japonais qui : Ont l’habitude de mettre des masques à la moindre épidémie ;
Sont beaucoup moins « tactiles » que les Occidentaux ;
Et ont probablement adopté très vite la fameuse « distanciation sociale », de façon volontaire et disciplinée. Quoi qu’il en soit, c’est la preuve que l’épidémie n’a rien d’une fatalité et que des mesures simples peuvent être mises en œuvre pour la combattre. Même les chiffres venus d’Italie commencent à être rassurants, avec une stabilisation du nombre de nouveaux cas. Dans le détail, regardez la différence entre : La ville de Lodi (en vert) qui a imposé le confinement dès le 23 février…
Et la ville de Bergame (en rouge), qui a attendu le 8 mars : Cela montre bien que les mesures « barrière » fonctionnent ! Et on devrait bientôt tirer les fruits du confinement en France et partout en Europe. Quant à la Chine, c’est le cas le plus spectaculaire, de loin. Je rappelle que la Chine est : Le cœur du foyer de contamination (à Wuhan et Hubei) ;
Un pays gigantesque, avec 1,4 milliard d’habitants ;
Avec une pollution énorme, qui affaiblit les poumons ;
Avec un nombre de fumeurs impressionnant (la moitié des hommes fument !) ;
Et un système de santé moins développé que le nôtre. Et bien sûr, la Chine n’a pas pu se « préparer », puisque c’était le premier pays à être touché de plein fouet. Eh bien malgré tout cela, le nombre de nouveaux cas en Chine est ridiculement faible ! Voilà une bonne raison d’être optimiste pour la suite ! Et bien sûr, la 4ème raison d’être optimiste, c’est l’efficacité très prometteuse de la chloroquine ! Encore une fois, je ne dis pas cela pour vous démobiliser. Continuez à appliquer soigneusement mon protocole naturel anti-coronavirus. Continuez à respecter les mesures de confinement. Mais vous pouvez vous détendre et souffler un bon coup : les nouvelles sont bonnes ! Bonne santé, Xavier Bazin

D’autres infos complémentaires ici https://eveilhomme.com/2020/03/18/le-pr-didier-raoult-infectiologue-francais-de-renommee-mondiale-parle-et-eclaire-la-situation-actuelle/

reçu le 16/03/2020

Très chers lecteurs, > La situation sanitaire actuelle et les dispositions prises par le gouvernement français (mais aussi d’autres pays européens) sont exceptionnelles. > C’est pourquoi, j’ai décidé dans les jours à venir et tant que la situation continue de vous informer et de partager au maximum des solutions 100% naturelles pour vous protéger contre ce virus. > Je suis encore en discussion avec certains experts reconnus de la santé naturelle mais restez attentifs à vos emails. > Dans les prochains jours, vous recevrez plusieurs lettres avec des solutions détaillées de la santé naturelle pour vous protéger, renforcer votre immunité, gérer vos émotions (peur, stress)… mais aussi vous soigner en cas de premiers symptômes d’état grippal ou encore des propositions pour vous occuper lors de ce « confinement » forcé. > Vous n’avez rien à faire, c’est totalement gratuit. > J’espère de tout cœur que ces informations vont seront utiles. > En attendant, je vous renvoie, si vous ne l’avez pas encore lue, cette lettre capitale de mon collègue Xavier Bazin. > Lisez-là bien attentivement. Suite aux déclarations du premier ministre, il vous explique pourquoi en cas de soupçon de coronavirus il ne faut surtout pas vous précipiter sur le paracétamol. De plus à la fin de son message il rappelle quelques-unes des meilleures solutions naturelles pour se protéger du virus. > Alors n’hésitez pas à la partager autour de vous. > Bonne lecture et prenez soin de vous ! > On se retrouve très vite. > Garance Langlois

Urgent coronavirus : le geste à ne surtout PAS faire   > Cher(e) ami(e) de la Santé, > Le Premier Ministre a déclaré samedi : « La prise d’anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone, …) pourrait être un facteur d’aggravation de l’infection » > Il a raison : en cas de fièvre, ne prenez surtout pas de médicament anti-inflammatoire comme : L’Ibuprofène (Advil, Nurofen…)
> Le Diclofénac (Voltarene)
> L’aspirine > Mais il y a un autre médicament à éviter à tout prix. > C’est le paracétamol (Doliprane, Dafalgan, Efferalgan…). > Certes, le Ministre de la Santé a dit exactement le contraire. > Voici la totalité de sa déclaration : « La prise d’anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone, …) pourrait être un facteur d’aggravation de l’infection. En cas de fièvre, prenez du paracétamol ». > Mais je le dis haut et fort : cette déclaration est irresponsable. > Plusieurs médecins m’ont appelé ce week-end pour me demander de vous dire la vérité. > Ils n’osent pas le faire eux-mêmes, de peur d’être sanctionnés. > Aujourd’hui, je vous envoie peut-être la lettre la plus importante que je vous ai jamais écrite. > Elle pourrait aider à sauver des vies et freiner l’épidémie. > Lorsque vous l’aurez lue, jusqu’au bout, je vous demande de la transférer à tous vos contacts. > Car cette lettre contient des conseils de bon sens dont on ne vous parle pas… > …comme d’éviter à tout prix de faire baisser la fièvre : Faire baisser la fièvre est UNE FOLIE > Cela fait 50 ans que le Prix Nobel de Médecine français André Lwoff l’a démontré[1] > Cela fait des dizaines d’années que les médecins « éclairés » le disent à leurs patients. > Cela fait 4 ans que la Haute Autorité de Santé l’a reconnu, du bout des lèvres[2]. > Cela fait 2 ans que l’un des plus grands spécialistes des virus au monde l’a clamé publiquement[3]. > Faire baisser la fièvre artificiellement, par un médicament, est DANGEREUX. > C’est presque toujours une mauvaise idée, quelle que soit l’infection. > Mais contre le coronavirus chinois, cela peut avoir des conséquences catastrophiques. > Je rappelle que ce virus commence à infecter votre nez et votre gorge. > Et si le virus en reste là, vous ne risquez rien. Sur le navire de croisière Diamond Princess, près de la moitié des passagers testés positifs au coronavirus ne se sont même pas aperçus qu’ils avaient une infection ! Et parmi les autres, ceux l’ont « senti passer », la majorité n’a ressenti qu’un gros rhume. > Les problèmes commencent quand le virus gagne vos poumons. > Votre priorité est donc de tout faire pour l’éviter, quand vous avez de la toux ou de la fièvre. > Il existe des gestes simples, dont les autorités ne vous parlent pas et qui peuvent vous y aider (je vous les détaille ci-dessous). > Mais s’il y a bien une chose à ne surtout pas faire, c’est faire baisser la fièvre avec un médicament. > Car la fièvre est votre première ligne de défense contre la propagation du virus dans vos poumons. > Écoutez le Pr Paul Offit, chef de la Division des Maladies Infectieuses à la Perelman School of Medicine de l’Université de Pennsylvanie : « De nombreuses études ces dernières années ont montré que prendre des médicaments pour faire baisser la fièvre nuit à la capacité du corps à surmonter une maladie »[4]. > En France, la Haute Autorité de Santé a dit exactement la même chose : « La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères et il a été observé que des infections graves non fébriles (sans fièvre) étaient associées à une augmentation de la mortalité. Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques (médicaments qui font baisser la fièvre) pourrait retarder la guérison de certaines infections virales »[5] > Je vous ai expliqué pourquoi en détail dans ma lettre « Quand allons-nous arrêter de faire baisser la fièvre », envoyée le 30 octobre 2019[6]. > Pour résumer, retenez que : Les virus ne résistent pas à une haute température: c’est pour tuer les virus que la chaleur de votre corps augmente avec la fièvre !
> A haute température, notre système immunitaire fonctionne mieux – surtout les cellules immunitaires spécialisées pour tuer les virus et bactéries ! > Et si vous n’êtes pas encore totalement convaincu, sachez que des études récentes ont prouvé que les médicaments anti-fièvre : prolongent les symptômes de la grippe[7];
> retardent la résolution des symptômes de la varicelle[8]
> et prolongent la durée des rhumes (rhinovirus) et en aggravent les symptômes[9]. > Face au coronavirus, il est donc ÉVIDENT qu’il faut éviter de baisser la fièvre. > Il faut donc éviter à tout prix les anti-inflammatoires (Ibuprofen…), bien sûr… > …mais aussi le paracétamol (Doliprane…) > Mais, vous me direz, si c’est si évident, pourquoi les autorités ne vous le disent pas ? > Et pourquoi le Ministre de la Santé vous dit exactement le contraire ??? > Pour la même raison, hélas, que celle qui conduit nos autorités à : éviter de vous recommander de prendre de la vitamine D et d’autres remèdes naturels scientifiquement prouvés contre les infections virales respiratoires comme le coronavirus (je vous les détaille plus loin) ;
> refuser de préconiser les traitements médicaux qui ont fait leurs preuves en Chine et en Corée du Sud (injections de vitamine C / hydroxychloroquine + zinc) ;
> et cacher la raison pour laquelle les personnes hypertendues sont aussi gravement affectées par le coronavirus (réponse : certains médicaments anti-hypertension aggravent l’infection). > Cette raison, c’est que notre système médical est entièrement tourné vers l’argent et le prestige. > L’industrie pharmaceutique n’a rien à gagner à vous prescrire des remèdes naturels (ou des médicaments anciens)… et beaucoup d’argent à perdre si vous arrêtez de prendre certains médicaments. > Et nos « grands professeurs de médecine » ne retirent aucun prestige à vous conseiller ce que les médecins éclairés, homéopathes et naturopathes compétents vous disent depuis des années. > Comme le dit ironiquement le Pr Raoult, avec des anciens remèdes comme la chloroquine « on coupe l’herbe sous le pied de plein de gens qui rêvaient de décrocher le Prix Nobel pour avoir trouvé un nouveau médicament ou un nouveau vaccin »[10]. > Voilà pourquoi vous ne pouvez pas attendre de nos autorités qu’elles vous disent toute la vérité face à la crise actuelle. > Et c’est pourquoi je vous écris cette lettre : pour vous dire, en toute indépendance, ce que vous pouvez faire pour vous protéger et protéger vos proches contre le coronavirus. > Vous trouverez ci-dessous un « protocole naturel », simple à mettre en place, efficace, sans risque et scientifiquement étayé. > Mais je voudrais quand même vous dire un mot de plus sur les médicaments anti-fièvre : Pourquoi les médicaments anti-inflammatoires (et anti-hypertension) sont si dangereux > Donc, les médicaments anti-inflammatoires comme l’ibuprofène ont le défaut de casser la fièvre, ce qui vous prive d’une ligne de défense efficace contre le virus. > Mais ils ont aussi un autre effet désastreux, spécifique au coronavirus chinois. > C’est ce qui explique qu’au moins quatre personnes jeunes sont actuellement en réanimation, à Toulouse, simplement parce qu’elles ont eu le malheur de prendre de l’ibuprofène ! > Voici ce qui est en train de se passer. >  Le coronavirus se multiplie dans les poumons en s’attachant à un récepteur appelé « enzyme de conversion de l’angiotensine 2 » ou ACE2. > Comme l’explique bien un journaliste, « si l’on considère le corps humain comme une maison et le coronavirus comme un voleur, alors l’enzyme ACE2 est la poignée de porte grâce à laquelle l’intrus pénétrera »[11]. > Or plusieurs substances augmentent le nombre de récepteurs ACE2… et pourraient donc faciliter l’entrée du virus : C’est clairement le cas de l’ibuprofène – d’où la déclaration de notre Ministre de la Santé ;
> Mais aussi certains médicaments anti-hypertenseurs nommés « inhibiteurs de l’enzyme de conversion » (IEC) et les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II » (sartans)[12]. > Notez que ces médicaments anti-hypertension sont parfois également utilisés dans le traitement du diabète. > Et comme par hasard, les deux maladies les plus fréquemment associées à une mauvaise réaction au coronavirus sont : L’hypertension
> Et le diabète  > Ce qui est très inhabituel pour une infection respiratoire ! > La raison, très vraisemblablement, est que les médicaments aggravent la situation ! > Je vous conseille donc de consulter votre médecin dès maintenant si vous prenez ces médicaments – il existe des médicaments alternatifs, mais seul votre médecin peut vous les prescrire (et n’arrêtez surtout pas votre traitement sans son avis !) > (Entre parenthèses, vous gagnerez de toutes façons à éviter ces médicaments : parmi leurs effets indésirables, les IEC et sartans augmentent votre risque de cancer du poumon[13][14] !) > Pour le paracétamol, le problème est un peu différent : Pourquoi vous devez éviter AUSSI le paracétamol > Le paracétamol, comme les anti-inflammatoires, a le grand tort de faire baisser la fièvre artificiellement, et c’est une raison suffisante de ne pas en prendre. > Mais en plus, si vous en prenez pendant plusieurs jours, vous avez de vrais risques de vous retrouver à l’hôpital pour une défaillance du foie. > Rappelez-vous de Naomi Musenga, cette femme qui est morte après avoir appelé les urgences… sans qu’on la prenne au sérieux. > Eh bien le Procureur de Strasbourg a découvert que sa mort était liée à « une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours ». > De fait, dès que vous prenez 2 ou 3 grammes par jour, vous mettez votre foie en grave danger. > Selon un rapport du Ministère de la Santé du Canada, 1 cas sur 5 d’intoxication gravissime au paracétamol a lieu alors que le patient a respecté la dose autorisée[15]. > Et bien sûr, si vous dépassez la dose maximale (plus de 3 grammes par jour[16]), vous prenez encore plus de risques… > …et c’est ce qui pourrait se passer avec la déclaration irresponsable de notre Ministre ! > J’imagine déjà les milliers de gens qui vont se ruer à la pharmacie pour acheter du paracétamol, en croyant que c’est efficace contre le coronavirus ! > S’il vous plaît, transférez cette lettre autour de vous, il faut absolument éviter ça ! > Surtout qu’il y a encore un autre risque avec le paracétamol : il épuise vos réserves de glutathion ! > Or le glutathion est le « maître des anti-oxydants » : il permet à d’autres vitamines cruciales, comme les vitamines C et E, de jouer pleinement leur rôle. > Et surtout, le glutathion est utilisé par notre système respiratoire pour protéger ses cellules saines contre les dégâts inflammatoires[17]. > D’ailleurs, c’est parce qu’une substance comme l’acétylcystéine (NAC) augmente vos réserves de glutathion qu’elle fluidifie les bronches et protége vos poumons. > Bref, c’est, à tous points de vue, une TRÈS MAUVAISE IDÉE de prendre du paracétamol. > Selon la Haute Autorité de Santé, la seule justification du paracétamol est la « lutte contre l’inconfort » liée à la fièvre[18]. > Mais il vaut mieux pour vous être « inconfortable » pendant quelques jours, avec une fièvre à 39,5°, plutôt que de vous retrouver hospitalisé, avec assistance respiratoire. > Et à ce sujet, n’allez surtout pas encombrer les hôpitaux si vous avez « seulement » de la fièvre. N’appelez le SAMU (15) que si vous avez du mal à respirer ! > Maintenant qu’on a vu ce qu’il ne faut pas faire, voici ce qu’il faut faire. > J’ai un peu affiné le « protocole naturel anti-coronavirus » depuis ma dernière lettre sur le sujet, pour qu’il soit encore plus simple à réaliser. Vulnérable ou pas, voici ce que vous devez faire MAINTENANT > Que vous soyez une personne vulnérable ou non, vous avez tout intérêt à être le mieux préparé possible, physiquement. > Cela passe d’abord par trois gestes simples : Une bonne alimentation – évitez les aliments sucrés qui plombent les défenses immunitaires, et mangez assez léger (remplissez-vous au 9/10ème, comme disent les Japonais) ;
> Un bon sommeil– pour vous aider, éteignez cette foutue télé et arrêtez de regarder les news anxiogènes, surtout le soir !
> Et une activité physique douce et régulière, ce qui est, d’ailleurs, un des meilleurs « anti-stress » qui existe (je dis bien « douce », ce n’est pas le moment de faire un marathon ou de la musculation intensive). > Je conseille aussi de prendre deux compléments alimentaires : La vitamine D, dont l’efficacité a été prouvée scientifiquement contre les infections respiratoires aiguës[19]: allez en pharmacie, cela ne coûte presque rien, et prenez 10 000 UI par jour pendant 10 jours, puis 4 000 UI par jour pendant 2 mois (si vous savez que vous avez déjà un taux optimal, 2 à 3 000 UI par jour peuvent suffire).
> Un multivitamines de qualité, qui contient des quantités suffisantes de vitamine C, de vitamine E (naturelle) et de zinc. > Personnellement, je prends de la vitamine D et un multivitamines toute l’année, mais si ce n’est pas votre cas, c’est le moment ou jamais de le faire, pendant au moins 2 mois. > Je vous renvoie à ma dernière lettre pour les justifications scientifiques, mais je voudrais ajouter un mot sur le zinc. > Le zinc est un puissant anti-viral, dont il ne faut surtout pas manquer en ce moment. > Mieux : ce pourrait même être un nutriment clé en traitement des cas les plus graves de coronavirus : comme je le disais, la Corée du Sud a d’excellents résultats avec une alliance hydroxychloroquine + zinc. > Alors même si un excellent multivitamines peut coûter jusqu’à 40 euros par mois, je vous conseille vraiment de faire l’investissement pour deux mois, surtout si vous êtes vulnérable. > Je vous redonne les quelques marques (sur Internet) auxquelles je fais confiance : Biovancia, Unae, Supersmart. > Dans un monde idéal, ce devrait être remboursé par la Sécurité Sociale, mais vous avez compris que notre système médical n’avait rien d’idéal (ni même de « normal »). > Enfin, toujours en prévention, c’est le moment de vous faire plaisir avec, chaque jour, une tisane de thym, avec un demi-citron bio pressé et du miel. Pour les personnes vulnérables : à faire AUSSI, DÈS MAINTENANT > Voici maintenant les conseils que je recommande plus spécifiquement à ceux qui sont vulnérables. > Donc, ceci s’adresse en priorité aux plus de 60 ans qui ont un ou plusieurs problèmes de santé (maladie pulmonaire, maladie cardiovasculaire, diabète, etc.): Faites une cure de propolis de 3 semaines : 400 mg le matin, 400 mg le soir. > La propolis est un des plus puissants anti-viraux qui existent. > Et si vous voulez vraiment mettre toutes les chances de votre côté, achetez aussi un spray de propolis pour la gorge, et utilisez-le au moindre début de mal de gorge, pour éviter que le virus ne gagne vos poumons. Utilisez l’huile essentielle de Ravintsara (Cinnamomum camphora CT cinéole) > Pour vous protéger des virus, il faut appliquer deux gouttes pures, sans frotter, sur les poignets et avant-bras, chaque matin et soir, cinq jours sur sept (vous pouvez aussi utiliser une goutte de ravintsara et une goutte d’arbre à thé, plutôt que 2 gouttes de ravintsara). > Il est rarissime que cette huile essentielle cause le moindre souci, mais il peut exister des peaux ultra-fragiles, donc essayez d’abord une seule goutte pour voir comment cela réagit sur vous. Faites une cure de deux mois de quercétine > La quercétine est un anti-viral puissant[20], dont il y a de bonnes raisons de penser qu’il pourrait être efficace contre le coronavirus, en prévention et traitement[21] (cette substance a aussi le mérite de protéger vos poumons[22]). > Je conseille au moins 500 mg par jour (marques de confiance sur Internet : PerfectHealthSolution, Supersmart, Nutrixeal). > Et vous pouvez facilement passer à 1 000 mg par jour si vous êtes infecté, il n’y a aucun effet indésirable avec ce dosage. Si vous êtes infecté, cette huile essentielle pourrait faire une différence > Si vous êtes infecté et que vous n’avez pas encore suivi les conseils que je viens de vous donner, c’est le moment ou jamais de le faire. > Simplement, à la place de l’huile essentielle de ravintsara, utile en prévention, essayez celle de Laurier Noble, potentiellement efficace en traitement du coronavirus. > Voici en effet ce qu’a déclaré Pierre Franchomme, un des plus grands spécialistes au monde des huiles essentielles : « Les propriétés anti-virales du laurier noble ont fait l’objet de recherches bien documentées.  C’est le cas d’une étude dirigée par Monica Loizzo, de la faculté de Pharmacie de Calabre. Elle a montré l’activité in vitro de l’huile essentielle de laurier noble sur le virus SARS-CoV responsable de l’épidémie de SRAS de 2003[23] » > En pratique, Didier le Bail propose le protocole ci-dessous :  « L’huile essentielle de Laurier noble est à utiliser par voie cutanée et de préférence sous forme pure, c’est-à-dire sans avoir été diluée dans une huile végétale ou mélangée à du gel d’aloe vera. En pratique, appliquer HE Laurier noble sur les voûtes plantaires à raison de 5 gouttes par voûte et ce, plusieurs fois par jour. Il est capital de procéder à l’application uniquement sur cette partie du corps car on assure ainsi une diffusion rapide et optimale des molécules aromatiques jusque dans les alvéoles pulmonaires. » > Voilà pour les conseils de base. > Encore une fois, je vous appelle à transférer cette lettre à tous vos contacts, maintenant. > Je compte sur vous, c’est très important. > Bonne santé à tous,
> Xavier Bazin > PS : je voudrai finir en vous donnant quelques nouvelles rassurantes : A lire si vous êtes en train de PANIQUER > Les bonnes nouvelles sont d’autant plus précieuses en ce moment que le stress et l’angoisse sont mauvais pour votre système immunitaire ! > Il est donc urgent d’éteindre la télévision et de regarder la réalité en face. > D’abord, je rappelle que vous ne risquez quasiment rien si vous êtes jeune, non-fumeur et que vous n’avez aucune maladie chronique. > Si vous n’avez aucun problème de santé et que vous avez moins de 60-70 ans, vous n’avez pas de crainte à avoir : même si vous attrapez le coronavirus, vous n’avez quasiment aucune chance d’avoir des complications sérieuses. > Votre priorité est donc d’éviter de contaminer les personnes vulnérables. > Qui sont les personnes vulnérables, qui pourraient risquer de mourir du coronavirus ? > Ce sont les personnes de plus de 50-60 ans qui ont AUSSI une des maladies suivantes : Maladie pulmonaire
> Maladie cardiaque
> Hypertension
> Diabète
> Cancer
> Immuno-dépression (par exemple à la suite d’une greffe d’organe) > Notez qu’il vaut mieux avoir 85 ans et se sentir en pleine santé, plutôt qu’avoir 55 ans, être fumeur et souffrir d’une maladie cardiaque. > Et bien sûr, si vous avez 80 ans, que vous fumez ET que vous avez de l’hypertension ou une maladie pulmonaire, alors vous devez tout faire pour éviter d’attraper le coronavirus. > Votre priorité à vous est d’éviter de côtoyer les autres. > N’oubliez pas que des personnes qui ont l’air en pleine santé peuvent avoir le virus et vous le transmettre. > Cela ne veut pas dire qu’il faut rester « cloîtré » chez vous. > Au contraire, sortez-vous promener, si possible dans la nature, car l’activité physique douce est un moyen essentiel de renforcer votre système immunitaire et combattre les infections. > Au total, même si certaines personnes vulnérables doivent faire très attention, il est rassurant de savoir que : La grande majorité des gens ne risque rien : pour eux, le coronavirus sera un « gros rhume ».
> Et contrairement aux grandes épidémies de l’histoire, les enfants sont totalement épargnés par le coronavirus, ce qui est une heureuse nouvelle. > Il n’y a donc pas de raison de paniquer ! OK, mais pourquoi les gouvernements ferment les écoles et les restaurants ?? > Il est vrai les décisions des gouvernements sont angoissantes. > Beaucoup de gens se disent : « si nos décideurs prennent des mesures aussi radicales, c’est que le problème doit être beaucoup plus grave que ce qu’on veut bien nous dire !! » > Mais non, ce n’est pas le cas. > Comme je vous l’expliquais dans ma dernière lettre, l’objectif des gouvernements est de lisser l’épidémie dans le temps. > Ce qu’ils craignent (et ils ont raison !), c’est que nos hôpitaux soient totalement débordés. > Car le gros problème du coronavirus, c’est que beaucoup de malades ont besoin : D’une assistance respiratoire (donc d’un ventilateur) ;
> et, pour les cas les plus graves, d’être placés en soins intensifs. > Le problème est que le nombre de ventilateurs, ainsi que le nombre de place en réanimation et soins intensifs est limité. > Si trop de monde attrape le coronavirus en même temps, les hôpitaux risquent d’être totalement débordés. > Et quand cela arrive, des gens meurent, alors qu’on aurait pu les soigner ! > C’est ce qui s’est passé à Wuhan (en Chine), et en Italie du Nord : la mortalité du virus est supérieure à la normale, car le système hospitalier a été dépassé. > Voilà pourquoi la plupart des gouvernements prennent des mesures radicales, à juste titre. > Quand les hôpitaux sont débordés de malades du coronavirus : non seulement des personnes fragiles meurent, alors qu’on aurait pu les sauver ;
> mais les personnels soignants sont épuisés, peuvent subir un burn-out et, dans de rares cas, mourir de l’infection, parce que fragilisés par l’angoisse et le manque de sommeil. > Voilà pourquoi il est impératif de lisser l’épidémie sur la durée. > Mais notez bien que, même dans le pire des scénarios, seule une petite minorité des personnes vulnérables mourra du coronavirus. > Même dans la région d’Hubei en Chine, au cœur de l’épidémie, il n’y a eu « que » 3 000 morts, pour une population équivalente à celle de la France. > C’est 3 000 morts de trop, mais c’est tout de même peu comparé aux plus de 10 000 morts causés par les infections hivernales chaque année en France. > Et il y a d’autres bonnes nouvelles, dont les médias ne parlent pas assez : Les Japonais ont largement maîtrisé l’épidémie, sans confinement généralisé (probablement parce qu’ils ont des frontières étanches et qu’ils utilisent tous des masques) ;
> En Corée du Sud, la mortalité est 10 fois plus faible qu’en Italie, en partie parce qu’ils utilisent des traitements plus efficaces que chez nous ;
> En Allemagne, à côté de chez nous, le taux de mortalité est très faible également – 10 fois moins élevé qu’en France ! (est-ce parce qu’ils évitent l’ibuprofène et le paracétamol ?) > Mais le plus rassurant, pour moi, reste ce qu’on observe en Chine depuis plusieurs jours. > Manifestement, la Chine a réussi à éteindre totalement l’épidémie (dimanche, le nombre de nouveaux cas n’était que de 20, dont 16 importés !!). > C’est remarquable pour un pays de 1,4 milliard d’habitants, qui a pourtant été contaminé un peu partout, suite au Nouvel An chinois. > Certes, des mesures sérieuses de confinement ont été prises, mais pas très différentes de ce qu’on fait en ce moment en Europe. > Il y a donc toutes les raisons de penser que l’épidémie va refluer dans quelques semaines… et qu’elle ne restera qu’un mauvais souvenir, avec, espérons-le, moins de morts que la grippe saisonnière. > Donc pas de panique ! > Je sais bien que la situation est particulièrement anxiogène, mais on va passer cette épreuve !
>
> Xavier Bazin

4 Comments

  1. Épidémie COVID-19 : je réponds à vos questions ! courrier du 19/03/2020 suite des messages du dessus

    Cher(e) ami(e) de la Santé,

    Vous êtes nombreux à m’envoyer des questions, surtout après ma dernière lettre qui vous annonçait la bonne nouvelle de l’efficacité de la chloroquine contre le coronavirus !

    Alors voici mes réponses, « groupées » :

    Question 1 : Tant mieux si la chloroquine est efficace, mais ne pourrait-on pas plutôt utiliser des remèdes naturels à la place ?

    La réponse est : probablement « oui » !

    Je vais vous dire pourquoi, mais d’abord, je tiens à faire une précision.

    Pour moi, ce n’est pas le moment de faire la « fine bouche » : c’est déjà une excellente chose qu’on ait un remède potentiellement efficace contre les dégâts du coronavirus.

    Surtout que la chloroquine a beaucoup d’avantages : c’est un médicament dérivé d’une substance naturelle, sur lequel on a un recul de 70 ans, qui ne coûte rien et qui est facile à produire.

    Il faut se réjouir de ce qui vient d’être découvert, car c’est le genre de remèdes que nos grands pontes ont tendance à dénigrer, par orgueil et parce qu’ils ont des contrats juteux avec l’industrie pharmaceutique.

    Si vous ne me croyez pas, voici comment la chloroquine a été accueillie, il y a quelques semaines :

    Le Directeur général de la Santé, le 26 février : « Aujourd’hui, la communauté scientifique n’est pas très convaincue» de l’intérêt de la chloroquine ;

    Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris, le 1er mars : « La chloroquine n’a jamais marché chez un être vivant» (ce qui était FAUX au moment de cette déclaration, la chloroquine avait déjà été essayée avec succès sur 100 malades chinois).

    Quant au Pr Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Bichat, c’est à cause de lui que la France a perdu 3 semaines dans la lutte contre le coronavirus.

    Oui, ce Professeur a refusé de tester la chloroquine dans un large essai clinique officiel !

    Pour se justifier, il avait invoqué des « problèmes d’interactions médicamenteuses avec d’autres traitements chez des patients en réanimation, et l’existence d’effets secondaires de la chloroquine »[1].

    Pourtant, comme l’avait dit le Pr Raoult à l’époque : « Certes il y a des effets secondaires graves si on ne respecte pas la posologie, mais c’est un médicament que l’on connaît, on sait comment faire ».

    En fait, le Pr Yazdanpanah voulait privilégier deux autres médicaments :

    Le remdesivir, un anti-viral qui n’est même pas encore commercialisé, du laboratoire Gilead ;

    Et le Kelatra (seul ou avec de l’interferon bêta), un anti-VIH du laboratoire AbbVie.

    Pourquoi ?

    La raison fait froid dans le dos : ce Pr Yazdanpanah est grassement rémunéré par Gilead et AbbVie… ainsi que par 7 autres compagnies pharmaceutiques, dont il est au « board » !

    Bref, voilà un homme criblé de conflits d’intérêt, mais c’est lui que les autorités ont choisi d’écouter…

    …plutôt que le Pr Didier Raoult, un homme de bon sens et un des plus grands spécialistes au monde des maladies infectieuses !

    Heureusement que le Pr Raoult a réussi à tester, tant bien que mal, l’hydroxychloroquine sur quelques patients du Sud de la France !!

    On n’est pas passé loin d’une omerta sur l’efficacité de la chloroquine, et il faut s’en réjouir !

    Question 2 : D’accord, mais la chloroquine ne comporte-t-elle pas de risques ?

    Certes, comme tous les médicaments, la chloroquine peut avoir des effets indésirables.

    Mais il y a plusieurs raisons de penser que ce n’est pas un problème majeur ici :

    Par chance, il apparaît que l’hydroxychloroquine est plus efficace encore que la chloroquine contre le coronavirus : c’est une bonne nouvelle car l’hydroxychloroquine a moins d’effets indésirables que la chloroquine !

    La chloroquine et l’hydroxychloroquine sont des dérivés de la quinine, qui est elle-même une substance naturelle : c’est une bonne chose car les médicaments chimiques dérivés de substances naturelles sont en général moins toxiques que les autres ;

    Nous avons 70 ans de recul sur les effets de la chloroquine, qui est un remède très ancien, ce qui est une excellente chose quand on sait que beaucoup d’effets indésirables de médicaments apparaissent au bout de 5, 10 ou 15 ans.

    Et généralement, les plus graves effets indésirables des médicaments apparaissent quand on en prend tous les jours, pendant des années[2].

    Or contre le coronavirus, le traitement à base d’hydroxychloroquine ne durera que quelques semaines au maximum, ce qui limite les risques.

    Je rappelle que nous sommes dans un cas d’urgence médicale, avec des morts possibles si on ne fait rien.

    Donc, pour les cas graves, il n’y a pas photo entre le risque de mourir des complications du coronavirus et les effets indésirables possibles de l’hydroxychloroquine.

    On est dans la même situation que pour les antibiotiques face à une infection bactérienne très dangereuse : ce n’est pas idéal, mais cela vaut la peine de les prendre !

    Au total, ne soyez pas surpris que je me réjouisse du succès d’un médicament non naturel.

    Je rappelle que j’ai toujours été favorable à une médecine intégrative, qui rassemble ce qu’il y a de meilleur :

    dans la médecine moderne, souvent très efficace en cas d’urgence ;

    et dans les médecines naturelles, souvent plus efficaces contre les maladies chroniques, et en prévention.

    Question 3 : Mais alors, qu’en est-il des remèdes naturels ?

    J’y arrive.

    Déjà, en prévention, ou dès les premiers symptômes, je rappelle que les remèdes ci-dessous ont de grandes chances d’avoir des effets très favorables[3] :

    La vitamine D (sans ordonnance en pharmacie si vous la demandez en gouttes) ;

    Les tisanes de thym ;

    L’huile essentielle de ravintsara ;

    Et un multivitamines contenant de la vitamine C, E, et du zinc.

    Mais évidemment, notre système médical est à mille lieux de tester ce genre de remèdes naturels en prévention.

    En revanche, vu la gravité de la situation, on aurait pu attendre que nos chercheurs fassent au minimum comme les Chinois…

    … et testent dès le mois de février, en traitement des cas graves de coronavirus :

    La quercétine ;

    Les injections de vitamine C ;

    Sans oublier l’huile essentielle de Laurier Noble (celui-ci n’a pas été testé par les Chinois).

    (Je vous renvoie à mes dernières lettres qui donnent les preuves scientifiques de leur intérêt potentiel contre le coronavirus).

    Question 4 : La quercétine, vraiment ? J’ai entendu dire que c’était une « fake news », qu’en est-il ?

    Il est vrai qu’un confrère, pourtant adepte de santé naturelle, a qualifié de « fausse nouvelle » l’efficacité potentielle de la quercétine contre le coronavirus.

    Ce confrère est manifestement très mal renseigné (ou de mauvaise foi), car ce remède est au contraire très prometteur.

    D’abord, contrairement à l’hydroxychloroquine, il ne présente strictement aucun effet indésirable.

    De fait, c’est une substance qu’on trouve dans beaucoup d’aliments, en particulier les oignons.

    Il n’y a donc aucun risque à la tester – ni à l’utiliser par soi-même, en prévention ou traitement.

    Ensuite, on sait déjà que la quercétine est un anti-viral très intéressant.

    Plusieurs études scientifiques ont montré que ce remède naturel (ou un de ses dérivés) avait une efficacité :

    Contre le virus de la grippe A[4] et contre les complications de la grippe A H1N1[5] ;

    Contre les virus Ebola[6], Zika[7], hépatite C[8] et Epstein Barr[9].

    Mieux, une étude réalisée sur des souris a montré que la quercétine empêche les rhinovirus d’entrer dans les poumons[10] !!

    Si la quercétine a le même effet sur les humains et le coronavirus, ce serait extrêmement positif !

    Car le coronavirus ne pose de problème qu’une fois entré dans vos poumons : quand il reste dans votre gorge, il ne cause aucun dégât particulier, ou pas davantage qu’un simple rhume !

    C’est pourquoi le Pr Didier Chrétien, un grand chercheur canadien, a déclaré dès le mois de février qu’il croyait dur comme fer à l’intérêt de la quercétine contre le coronavirus, en prévention et en traitement[11].

    Et vu sa renommée mondiale, ce chercheur a convaincu les Chinois de tester cette molécule sur 1 000 patients (on n’a pas encore les résultats).

    Et puis il y a un dernier élément très intéressant avec la quercétine.

    Comme l’hydroxychloroquine, la quercétine semble être un ionophore du zinc[12].

    Cela veut dire que qu’elle favoriserait l’entrée du zinc au cœur des cellules.

    Or tout le monde sait que le zinc est un puissant anti-viral.

    Pour vous donner une image, l’hydroxychloroquine (et probablement la quercétine) ouvrent la porte des cellules infectées, pour permettre au zinc d’entrer facilement et de tuer le coronavirus.

    C’est pourquoi les Coréens du Sud (plus malins que nous), traitent depuis plusieurs semaines le coronavirus par un mélange d’hydroxychloroquine et de zinc – et ça marche !

    Et comme la quercétine serait également un ionophore du zinc, il y aurait tout intérêt à la tester rapidement !

    Question 5 : Y a-t-il d’autres remèdes naturels prometteurs contre le coronavirus ?

    Oui ! Mais vous avez compris que nos autorités de santé ne sont pas près de les tester sérieusement, hélas.

    Cela ne m’empêche pas de les partager avec vous, on peut toujours espérer.

    Parmi les plus prometteurs, il y a la plante Artemisia annua (armoise).

    La raison est simple : comme la chloroquine, l’artemisia annua est un remède efficace contre le paludisme.

    En fait, les tisanes d’artemisia annua sont même plus efficaces que la chloroquine, avec moins d’effet indésirables.

    Cette plante contient notamment de l’artemisine, un composé qui a valu le Prix Nobel de Médecine à Tu YouYou, qui l’a découvert grâce à la médecine traditionnelle chinoise.

    Et à propos de médecine chinoise, il existe un remède traditionnel efficace contre le coronavirus et officiellement recommandé par les autorités chinoises, en ce moment même.

    Il s’agit du Shuanghuanglian – un composé de trois plantes : chèvrefeuille, forsythia et scutellaire du lac Baïkal.

    Figurez-vous que ce traitement, en Chine, « a été administré à 99% des patients dans les hôpitaux temporaires de la province et à 94% des personnes dans les lieux de quarantaine à titre de prévention »[13] !

    Serait-ce la raison pour laquelle les Chinois sont en train de gagner la bataille contre le coronavirus ?

    Je ne sais pas, mais il est bien dommage que les Occidentaux ne suivent pas cet exemple réussi !

    Notez aussi que d’autres plantes anti-virales pourraient être efficaces, comme la renouée du Japon (Polygonum cuspidatum) ou la réglisse (Glycyrrhiza).

    (Je signale aux thérapeutes que le grand herbaliste Stephen Buhner, grand connaisseur des plantes anti-virales, a mis en ligne un protocole complet contre le coronavirus, en anglais[14] – si vous n’êtes pas spécialiste, n’essayez pas de le suivre seul, c’est assez complexe).

    Question 6 : Pour le paracétamol, vous êtes vraiment sûr de vous ? Tous les médecins à la télé disent le contraire

    Je vous ai dit lundi qu’il était irresponsable, de la part du Ministre de la Santé, de préconiser de prendre du paracétamol pour traiter la fièvre.

    Je persiste et je signe, voici pourquoi.

    D’abord, 100 % des médecins et des scientifiques sont d’accord sur un point : le paracétamol n’a aucune action contre les virus.

    Ce n’est pas un anti-viral, c’est uniquement un médicament qui réduit la fièvre et les douleurs.

    Si vous prenez ce médicament, il est donc certain que vous ne guérirez pas mieux ni plus vite du coronavirus – tout le monde est d’accord là-dessus.

    La raison pour laquelle les médecins le prescrivent, c’est pour des raisons de confort : clairement, il est très désagréable d’avoir de la fièvre, et les médecins pensent vous rendre service en la faisant baisser.

    Je répète que leur objectif n’est pas de vous aider à guérir, mais simplement de vous soulager.

    Évidemment, je n’y verrais aucun inconvénient si cela ne présentait aucun risque.

    Mais il y a un vrai risque à faire baisser la fièvre.

    La Haute Autorité de Santé elle-même l’a reconnu, dans un rapport publié en 2016 :

    « La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères (…).

    Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques (médicaments qui font baisser la fièvre) pourrait retarder la guérison de certaines infections virales »[15]

    En plus de ces études scientifiques, il y a de très bonnes raisons de penser que la fièvre est utile pour aider à guérir les infections :

    La nature est bien faite : si votre corps fait monter la température, au prix de beaucoup d’énergie, c’est certainement que cela a une utilité ;

    De fait, les virus ne résistent pas à une haute température : c’est donc certainement pour tuer les virus que la chaleur de votre corps augmente avec la fièvre !

    Et en plus, à haute température, notre système immunitaire fonctionne mieux – les cellules immunitaires spécialisées pour tuer les virus et bactéries deviennent plus efficaces !

    Pour moi c’est donc une évidence que faire baisser la fièvre risque de retarder la guérison du coronavirus (comme de n’importe quelle infection).

    Au minimum, par principe de précaution, il paraît clair qu’il faut éviter le paracétamol !

    Le seul avantage du paracétamol, c’est de se sentir « moins mal » sur le coup.

    Le risque, c’est d’être malade plus longtemps… et même de finir en réanimation si le coronavirus gagne vos poumons !

    Il n’y a donc pas photo : contre le coronavirus, ce n’est pas le moment d’empêcher la fièvre d’agir, car c’est votre première ligne de défense contre les complications graves !

    Et les convulsions, alors, me direz-vous ?

    Eh bien le paracétamol n’a de toutes façons aucune efficacité pour les éviter.

    Je cite encore la Haute Autorité de Santé : « La majorité des études portant sur la prévention des convulsions fébriles n’a pu apporter la preuve de l’efficacité des antipyrétiques, qu’il s’agisse du paracétamol ou de l’ibuprofène ».

    Bref, il n’y a vraiment aucune bonne raison de prendre du paracétamol.

    Et il y a même d’excellentes raisons de l’éviter !

    Je rappelle que le paracétamol peut causer de graves défaillances du foie, même sans surdosage (dès 3 grammes par jour)[16].

    C’est pourquoi je suis convaincu qu’on va avoir des drames, avec des gens qui vont avaler du paracétamol n’importe comment, croyant se protéger du coronavirus.

    D’ailleurs, comme je le craignais, il y a déjà eu une ruée dans les pharmacies : « Ces derniers jours, les gens en achetaient par six ou huit ou lieu d’une ou deux habituellement », a déclaré une pharmacienne parisienne[17].

    A tel point que l’Agence du médicament (ANSM) a été obligée de limiter la vente de paracétamol en pharmacie !

    Bref, je le répète, je suis sûr de moi.

    Ne prenez pas de paracétamol si vous avez des symptômes, et encore moins en prévention.

    Sur ce point, n’écoutez pas les autorités, ni les médecins de la télé.

    J’en ai fini pour mes questions-réponses du jour, je vous dis à très vite pour d’autres informations !

    Bonne santé,

    Xavier

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