Entretiens Imaginaires Médecine Nouvelle

Entretiens Imaginaires Médecine Nouvelle Germanique du Docteur Hamer

Une introduction aux découvertes du Dr Ryke Geerd Hamer

par Jan Spreen / jan.spreen@wanadoo.fr

note preliminaire

Le monde tel que nous le percevons est le produit de nos croyances. Pour ceux qui étaient convaincus que la terre était plate et au centre de l’univers, toute observation indiquant que cela pouvait ne pas être le cas sortait du cadre de la réalité et devait être gommée.

Si la terre était plate, on devait forcément tomber dans le néant en s’approchant du bord, et le marin vivait avec le cauchemar d’aller trop loin avec son bateau. Or, il pouvait se dire qu’il n’y avait aucun risque de se faire emporter par l’eau au-delà des limites de l’océan, car l’eau qui devait l’y porter devait être tombée depuis belle lurette si elle n’était pas retenue par un obstacle quelconque. Mais une telle pensée hérétique ne pouvait pas lui venir à l’esprit, car elle aurait détruit sa réalité sans pour autant lui permettre d’en construire une autre.

Le cancer est une maladie terrible et souvent mortelle. Vouloir soutenir le contraire, prétendre qu’il est créé par l’organisme lui-même dans un but bien précis et qu’il disparaît spontanément s’il n’a plus de raison d’être, sont des idées absolument inconcevables pour les croyances de notre époque.

Le texte qui suit a pour objectif de détruire le cauchemar du cancer et de permettre à chacun de se construire une nouvelle réalité dans laquelle l’approche énoncée ci-dessus devient non seulement plausible, mais évidente.

Tout n’est pas dit dans ce document, qui a la prétention d’être facilement accessible à tous et qui peut être lu en quelques heures. Certains livres sont cités en fin d’ouvrage, pour vous permettre d’aller plus loin si la lecture des Entretiens Imaginaires a élargi l’horizon.

INTRODUCTION

Lors d’un apprentissage dans n’importe quel domaine, nous faisons appel à des connaissances acquises par d’autres et que très souvent nous ne pouvons vérifier nous-mêmes d’une manière pertinente. Ma mère me dit de ne pas tomber de vélo, car je risque de me faire mal. Si je ne la crois pas, il me suffit de tomber pour vérifier moi-même qu’elle n’avait pas tort. Mais si mon professeur dit que la distance entre la lune et la terre est de 450000 km, je ne peux qu’accepter cette information, à moins de me lancer dans des expériences et des calculs mathématiques très compliqués. Le secret de la différence entre l’homme et la femme résiderait dans la différence entre les chromosomes XX et XY. Bon d’accord, que voulez-vous que j’en dise ?

La plupart de nos croyances sont fondées sur des observations pratiques ou des formulations théoriques faites par de tierces personnes qui ont elles-mêmes pris comme point de départ des expérimentations faites par d’autres. Il n’est pas difficile d’imaginer que des conclusions tirées un peu à la hâte mais présentées avec beaucoup de talent peuvent servir de fondements à une approche scientifique totalement erronée. Et effectivement, l’histoire est pleine de fausse pistes scientifiques.

Au siècle dernier, il était communément admis, me disait-on, que certains organismes pouvaient naître par génération spontanée, car on observait que des germes apparaissaient dans un flacon hermétiquement fermé et ne contenant en apparence que de l’eau pure. Il a fallu que des chercheurs un peu curieux observent cette eau pure d’un peu plus près, pour trouver qu’elle n’était pas si pure que ça et que les germes étaient déjà présents lors de la fermeture du flacon. Cela nous paraît élémentaire aujourd’hui, mais ceux qui ont osé s’en prendre à la théorie de la génération spontanée ont été traînés dans la boue par les autorités scientifiques de l’époque. Depuis, même le plus petit enfant est convaincu que nos ancêtres étaient des ignares et que ce sont justement les organismes nés de génération non spontanée, qui sont la cause de la quasi-totalité de nos malheurs dans le domaine de la santé. Spores, champignons, bacilles, bactéries, virus : la science en découvre tous les jours de nouveaux.

Aujourd’hui la théorie de la génération spontanée nous apparaît comme une aberration. Et pourtant, si l’on prend la peine de creuser un peu dans l’histoire de la science et de lire quelques textes évoquant les découvertes d’Antoine Béchamp, effacé de la mémoire scientifique, elle prend une toute autre dimension.

Rien ne doit nous empêcher de rester critiques, même et peut-être surtout dans des domaines a priori suspects du fait du consensus total qui y règne : l’absence d’esprit critique est redoutable. Parce que, si l’on peut affirmer que l’on trouve effectivement des micro-organismes dans certains tissus pendant une période de fièvre, cela ne renseigne en rien sur la question : mais bon sang, qu’est-ce qu’elles peuvent bien faire à cet endroit ?

Le cancer est aujourd’hui considéré comme un ennemi mortel qui doit être éradiqué au plus vite et avec tous les moyens possibles et imaginables. Mais si on pose quelques questions critiques de-ci, de-là, pour savoir ce qui définit le cancer, on est vite convaincu que personne ne sait réellement de quoi il s’agit, ni comment et pourquoi cela a commencé. Tout le monde est d’accord pour dire qu’il faut frapper fort et vite, sinon ça va aller très mal. Qu’une frappe forte et rapide n’améliore le plus souvent pas beaucoup l’état du patient semble ne jamais ébranler les certitudes des spécialistes.

A cela s’ajoutent les médias, qui sont généralement bien présents pour enfoncer le clou selon un adage bien connu : “  dans le doute, le pire est certain ”, comme le montre bien encore une fois la psychose autour de la vache folle et la maladie de Creutzfeld-Jacob. Avec des articles qui ne laissent aucune place au doute en ce qui concerne les connaissances scientifiques. Par exemple dans Libération du mardi 14 novembre 2000, dans un article sur la génétique :

Que sait-on du virus du sida ? “ Tout ”, répond le généticien. Son génome ? Sa séquence est connue depuis 1984. Ses gènes ? Comptés – douze seulement – identifiés, étudiés. L’action de ses protéines est décortiquée.

Il faut être bien informé pour savoir qu’absolument rien n’est connu de ce virus qui n’a même jamais été isolé, comme le Pr. Montagnier l’a lui-même reconnu, et qu’un grand nombre de personnes (parmi lesquelles des scientifiques du plus haut niveau) mettent sévèrement en cause la relation HIV/SIDA et même l’existence du virus.

Il est difficile de prendre au sérieux une approche du cancer (et de toute autre maladie sans exception) qui ôte à ce dernier tout aspect négatif. C’est pourtant le cas dans la Médecine Nouvelle du Dr Hamer. Elle est assez difficile à aborder, non pas parce qu’elle est compliquée, mais parce qu’elle met en cause absolument toutes les connaissances acquises depuis un siècle dans le domaine médical. A titre d’exemple voici quelques informations sur le cancer de la thyroïde envisagé selon la Médecine Nouvelle.

Le cancer de la glande thyroïdienne (d’origine endodermique) est le résultat d’un stress causé par un choc psychologique, inattendu et vécu dans l’isolement, avec comme ressenti “ il faut faire vite, je n’y arriverai pas, etc. ” (le Dr Hamer parle souvent en termes d’attraper le morceau vital). Il en résulte une augmentation de la masse thyroïdienne afin de fabriquer davantage de thyroxine pour devenir plus performant. Quand la crise est terminée, c’est-à-dire quand la situation conflictuelle est résolue, la masse supplémentaire de la glande thyroïdienne est éliminée à l’aide de bacilles de Koch (!), si l’organisme en dispose.

Les anciens canaux de sécrétion thyroïdiens (d’origine ectodermique) sont atteints en cas de stress causé par une peur frontale (danger réel, en face) chez la femme droitière et chez l’homme gaucher, sauf basculement hormonal important. Le résultat est une ulcération, c’est-à-dire une diminution de la masse. Les ganglions environnants peuvent également être atteints et soumis à une nécrose. Quand la crise est terminée, c’est-à-dire quand la situation conflictuelle est résolue, les parties nécrosées sont réparées, avec l’aide de virus (!). Cette réparation est parfois un peu exubérante, ce qui a pour résultat de causer la panique de l’équipe médicale, parce qu’elle constate une mitose cellulaire, donc un cancer malin.

Ces deux affections possibles de la thyroïde illustrent bien une partie fondamentale de la Médecine Nouvelle :

•  Toute maladie se déroule en deux phases, si toutefois l’individu parvient à résoudre son conflit.

Pendant la première phase l’organisme doit faire face à un stress intense, d’où une modification physique dans sa biologie afin de l’aider à surmonter son problème.

Pendant la deuxième phase l’organisme doit faire face aux désagréments d’une période de réparation (fièvre, douleurs, fatigue, baisse de tension, etc.), afin de retrouver l’état sain d’avant la crise.

•  Selon l’origine embryonnaire du tissu concerné (endodermique, mésodermique ou ectodermique), il y a soit augmentation de masse (cancer) pendant la phase conflictuelle et diminution pendant la réparation (ou guérison), soit nécrose pendant la phase conflictuelle et augmentation de masse (cancer) pendant la réparation (guérison). Il est totalement contre-indiqué de s’attaquer à un cancer par des cytostatiques etc., car ceci va à l’encontre des mécanismes biologiques mis en œuvre par l’organisme. Un cancer ne peut être guéri que par l’organisme lui-même et pour cela le conflit biologique causal doit être résolu. Vouloir arrêter l’augmentation de masse pendant la phase de guérison est également insensé, car la réparation reprendra toujours de plus belle après les séances de chimio, radiothérapie etc.

•  Le concept de métastase, c’est-à-dire de cancers secondaires causés par le cancer primaire par essaimage, est totalement erroné. La seule cause d’une formation tumorale est un stress intense causé par un choc imprévu, jamais par une cellule baladeuse.

Ce dernier point supprime déjà presque toutes les raisons de paniquer en cas de diagnostic de cancer. Il est d’ailleurs logique de présumer que c’est justement ce diagnostic mal vécu par le patient qui est la cause de tout cancer soi-disant secondaire. Car le message médical actuel permet difficilement de vivre l’annonce d’un cancer autrement que comme un choc psychologique violent.

L’action thérapeutique dans la Médecine Nouvelle se trouve pour sa quasi-totalité (parfois une intervention chirurgicale peut être nécessaire, parfois un médicament bien choisi peut aider) dans l’accompagnement du patient, afin de lui permettre de trouver et de résoudre son conflit, de lui faire comprendre les fondements de la Médecine Nouvelle pour lui permettre de rester serein pendant la phase de réparation, parfois très pénible, et enfin pour l’aider à faire le tour de lui-même afin d’éviter des réactions un peu pathologiques devant une réalité qui peut être vécue autrement et sans rendre malade.

Sans doute tout ceci est-il difficile à accepter pour celui qui a toujours confié le soin de sa santé à d’autres que lui. La médecine est devenue tellement complexe même pour les professionnels de la santé qu’un novice s’en sent complètement exclu, ce qui est d’ailleurs le cas. Des voix s’élèvent pour convaincre toute la population que le Dr Hamer et ceux qui sont sûrs du bien-fondé de la Médecine Nouvelle font partie d’une secte dangereuse, qui a pour but de “ détourner le public de la médecine officielle, avec toutes les conséquences dramatiques que l’on connaît ”. Comme si le chemin de l’hôpital n’avait jamais eu de conséquences dramatiques pour personne !

La recherche médicale s’est totalement perdue dans la forêt tropicale de ses dogmes et hypothèses erronés et, comme notre système de Santé Publique vit non pas de la santé mais de la maladie, la critique ne vient parfois que très difficilement des bouches qu’elle nourrit. Donc, peu d’espoir si nous ne nous donnons pas le droit d’apprendre à réfléchir par nous-mêmes.

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BIBLIOGRAPHIE

Livres :

Dr Hamer, Ryke Geerd. — LEGS – Fondement d’une Médecine Nouvelle. — Amici di Dirk, Chambéry, 1999. — La Médecine Nouvelle “ La Quintessence ”. — Amici di Dirk, Chambéry, 2000

(AMICI DI DIRK – France. BP 134, 73001 Chambéry – cedex)

Sites Internet :

La Médecine Nouvelle du Dr Ryke Geerd Hamer

www.multimania.com/asac

www.free-news.org/indefr.htm

Comprendre sa maladie

www.multimania.com/biologie